Amériques Analyse

A la COP21, le baptême du feu de Justin Trudeau

L’élection du libéral Justin Trudeau au poste de premier ministre du Canada a mis fin à près d’une décennie de règne « obscurantiste » du parti conservateur. Une embardée à gauche chargée de promesses. Mais certaines ne seront pas faciles à tenir, surtout en matière d’environnement.

Rémi Leroux

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Montréal (Canada), correspondance. - En déroulant le tapis rouge au parti libéral de Justin Trudeau, les Canadiens ont confirmé qu’ils avaient un besoin urgent de changement : la victoire du Parti libéral du Canada (PLC) à l’élection fédérale du 19 octobre 2015 tient autant au rejet du système conservateur en place depuis 2006 qu’à l’adhésion récente des électeurs canadiens à la figure de Justin Trudeau. Après une décennie de Stephen Harper, premier ministre austère, usé, évangéliste dont les croyances religieuses ont souvent guidé les actes politiques, partenaire actif des compagnies pétrolières, méprisant envers les peuples des Premières Nations, les électeurs canadiens ont dit « Stop ! ».

1€ pour 15 jours

puis 12€/mois

Résiliable en 3 clics

Je m’abonne

Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal