Outre-mer

Bourrages, trafics, enquête pénale… A Mayotte, les dessous d’une élection annulée

Le Conseil constitutionnel a annulé, vendredi 19 janvier, l’élection de Ramlati Ali, députée La République en marche de Mayotte. Sur l’île aux parfums, un gendarme a été placé sous contrôle judiciaire. Il est soupçonné de trafic de fausses procurations, de faux et usage de faux.

Julien Sartre

La majorité présidentielle joue de malchance avec ses députés d’outre-mer. Après l’annulation, en décembre dernier, de l’élection guyanaise de Lénaïck Adam – « un des députés les plus prometteurs de sa génération », dixit le premier ministre Édouard Philippe lors de son discours de politique générale – c’est au tour de l’élue de Mayotte de faire défection pour cause d’invalidation de son scrutin par le Conseil constitutionnel.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter

Notre rapport d’impact

Chiffres, enquêtes, engagements : un regard détaillé sur l’impact de Mediapart

Je découvre

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal