En Algérie, le nouveau président très mal élu est déjà hué par les foules
En Algérie, des foules ont déferlé, vendredi 13 décembre, pour contester la légitimité d’Abdelmadjid Tebboune, élu président la veille au forceps, sur fond d’abstention record. Elles réclament le départ de cet ex-premier ministre et de « tout le système ». « Hirak », saison 2.
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DesDes foules impressionnantes qui marchent aux cris de « Nous sommes le peuple, nous voulons l’indépendance, il n’y aura pas de vote », qui forcent des cordons de police, essuient les tirs de gaz lacrymogènes, de tasers, les croche-pattes des nervis en uniformes ou en civil, jettent des bulletins de vote dans des poubelles, font même fermer des bureaux de vote désertés comme en Kabylie pour bien signifier le refus de la fable présidentielle imposée…