Mediapart diffuse chaque samedi un film documentaire, en partenariat avec la plateforme de vidéos Tënk et de nombreux festivals. Un espace ouvert à d’autres narrations, d’autres temporalités, d’autres images du monde. Ces films sont disponibles pour nos abonné·es durant quatre semaines. Cette sélection est assurée par Guillaume Chaudet-Foglia et Ludovic Lamant. Pour nous joindre : documentaires@mediapart.fr
Le Portugal s’apprête à célébrer en avril les 50 ans de la révolution des Œillets. Dans un contexte inédit, marqué par une forte poussée de l’extrême droite aux dernières législatives. Mediapart diffuse, à partir de ce samedi, « 48 », un film impressionnant de Susana de Sousa Dias, qui fait entendre les voix d’hommes et de femmes victimes de la torture au cours des 48 ans qu’a duré le régime de Salazar, jusqu’en 1974.
En association avec le festival documentaire Cinéma du réel, dont la 46e édition se tient du 22 au 31 mars à Paris, Mediapart vous propose de voir en intégralité dix films de la sélection « Première fenêtre » consacrée aux jeunes auteurs et autrices. Et de voter pour votre œuvre préférée.
Un passionnant travail de redécouverte de l’œuvre de celle qui n’a cessé de filmer les foyers de luttes du Moyen-Orient est en cours. Pour l’accompagner, Mediapart diffuse « Lettre à Beyrouth », plongée vertigineuse dans le Liban de 1978, en pleine partition après l’invasion israélienne du Sud.
Alors que le plus grand navire de croisière au monde a entamé son voyage inaugural le 28 janvier, c’est à bord du « Harmony of the Seas » que nous embarque la réalisatrice suisse Corina Schwingruber Ilić pour un voyage ambigu à bord d’une forteresse de vacances maritimes où se côtoient marasme du tourisme de masse et naufrage environnemental.
Les « Pinçon-Charlot » n’ont cessé d’étudier la sociologie des plus riches. Dans son documentaire « À demain mon amour », Basile Carré-Agostini met ses pas dans ceux des deux sociologues, pour parler d’amour et de politique. À un moment particulier en France, lorsque surgit le mouvement des « gilets jaunes »...
Mediapart diffuse le film lauréat du César 2024 du meilleur court-métrage documentaire. Partant d’une lettre de suicide publiée par un homme célibataire sur un réseau social, la réalisatrice Gala Hernández López entame une dérive virtuelle sur Internet, pour comprendre comment la solitude s’exacerbe dans un monde hyper-connecté.
La réalisatrice Audrey Ginestet a suivi Manon Glibert, une des personnes inculpées dans l’affaire de Tarnac, pendant la préparation du procès qui a conduit à leur relaxe générale en 2018. Loin des clichés policiers sur la « mouvance anarcho-autonome », « Relaxe » suit un processus d’apprentissage de la prise de parole et délivre l’inestimable témoignage d’une victoire.
Après 62 ans de mariage, Aïcha et Mabrouk se séparent. Leur petite-fille, Lina Soualem, en tire un film émouvant sur les tiraillements identitaires, « Leur Algérie », que Mediapart diffuse à partir de ce samedi.
Léna Alembik est la sage-femme, Marie Bottois est la patiente et réalisatrice. Alors qu’elle renouvelle son stérilet, elle met en scène ce rendez-vous médical. La caméra devient un miroir où se tisse une relation de soin sereine.
Alors que des policiers quittent une zone de Calais, des migrants sortent de leurs caches et la vie, c’est-à-dire une collection de gestes précaires, reprend son cours. Mediapart diffuse à partir de ce samedi « Les Nuées (My Black Mama’s Face…) », une forme courte et inédite de Sylvain George, tournée en 2012, au carrefour des dispositifs de surveillance et de résistance.